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31/08/2007

Le Progrès : D'abord le bouche à oreille

Article du vendredi 31 août 2007

« D'abord le bouche à oreille »

L'association OGM Non Merci procède à des tests plus ou moins reconnus par les agriculteurs

« C'est un peu comme lorsqu'une dame veut savoir si elle attend un enfant » Gérard Boinon, animateur de l'association « OGM Non Merci », explique le processus de localisation des parcelles OGM : « C'est d'abord le bouche à oreille qui fonctionne. Ensuite, lorsque nous avons un doute, nous procédons à un test scientifique. Nous prélevons une feuille de maïs. Elle est broyée et il en ressort un jus de tige. On prend alors une languette spéciale. Une fois trempée dans le liquide, le résultat s'affiche. » La méthode est parfois contestée par les professionnels « En plus, pour prélever une feuille, ils sont bien forcés de pénétrer sur notre domaine, ce qui est interdit. Le seul test digne de foi est celui de Greenpeace », note un exploitant.
J.-M.P.

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