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21/07/2008

Du nouveau pour Christian Vélot

Bonjour à toutes et à tous,

     Tout d'abord, je m'excuse de ne pas avoir donné de nouvelles depuis la
manifestation du 25 juin, mais j'ai préféré attendre l'entrevue du 9 juillet
avec mes instances universitaires (rendez-vous obtenu quelques jours avant
le 25 juin) pour pouvoir faire un point global et ne pas vous envahir de
mails.

     Je tiens dans un premier temps à remercier toutes celles et ceux
qui ont
participé à la mobilisation du 25 juin, et qui sont parfois venus de très
loin. Ce fut une superbe mobilisation dont vous pourrez trouver un
compte-rendu et quelques photos sur le site de Fondation Sciences Citoyennes
(FSC) (
http://sciencescitoyennes.org/). C¹es la première fois que des
citoyens (dont bon nombre d¹entre eux sont d¹ailleurs souvant qualifiés
d¹anti-science) se mobilisaient ainsi pour soutenir un chercheur et demander
plus de transparence et de démocratie dans la science. Je tiens aussi à
remercier toutes les organisations qui ont soutenu cet appel, et toutes
celles et ceux qui n'ont pu être là mais qui n'ont pas manqué de le relayer
et de m'apporter un soutien sans faille.
     Un merci tout particulier aux membres des délégations (celle du matin
qui a insisté jusqu¹à ce qu¹elle soit reçue par mon Institut, et celle de
l'après-midi qui a été reçue par le Ministère de la Recherche) : Arnaud
Apoteker (Greenpeace), Sandrine Bélier (FNE), Patrick Boumier (SNTRS-CGT),
José Bové (Conf. Paysanne), André Cicolella (FSC, Alliance pour la Planète),
Isabelle Goldringer (SUD-Recherche), Gilles Lemaire (ATTAC), Claudia
Neubauer (FSC), Anny Poursinoff (Les Verts), Jacques Testart (FSC), ainsi
qu¹à la Fondation Sciences Citoyennes pour tout son travail remarquable sur
le dossier (et en particulier à Fabien Piasecki qui a coordonné toute
l¹organisation de cette journée).

     Le 9 juillet, une autre délégation (constituée de Marie-Christine
Blandin, Sénatrice et membre de l'Office Parlementaire des Choix
Scientifiques et Techniques, de André Cicolella, Fondateur de FSC,
d¹Isabelle Goldringer de SUD-Recherche, de Claudia Neubauer, Directrice de
FSC, de Patrick Boumier du SNTRS-CGT, et moi même) a donc été reçue par mes
instances universitaires (Présidente, Vice-président et Secrétaire Général
de l¹Université Paris-ud, ainsi que le Doyen de la faculté des Sciences
d¹Orsay)  accompagnées d¹une représentante du CNRS.
     Cette rencontre s¹est très bien passée et a été très constructive. De
toute évidence, les instances universitaires n¹étaient pas au courant de
tous les éléments de l¹affaire et notamment de tout le harcèlement dont mon
équipe et moi-même avons fait l¹objet. La Présidence a fait part d¹une
volonté de trouver une solution et d¹apaiser la situation.
     Finalement, la Présidence de l¹université nous a fait savoir :
     - (1) qu¹elle n¹avait aucun problème avec mes prises de position
publiques sur les OGM, que j¹avais tout à fait le droit de donner mon
affiliation professionnelle pour justifier de mes compétences à parler du
sujet en question, et qu¹en aucun cas ces prises de position ne doivent
intervenir dans mon évaluation scientifique ;
     - (2) que l¹Université apportait son plein soutien pour que mon équipe
de recherche continue d¹exister soit sous forme de laboratoire exclusivement
universitaire, soit sous forme d¹un laboratoire rattaché à un autre
organisme de recherche de la Faculté d¹Orsay ;
     - (3) qu¹elle s¹engageait à écrire une lettre, dont il pourra être fait
état publiquement, pour  ³laver² mon équipe et moi-même de tout le
dénigrement dont nous avons fait l¹objet depuis deux ans, et qui permettra
de réaffirmer que des décisions ne peuvent être prises au sein de
l¹Université sans une procédure d¹évaluation transparente ou par des
méthodes en dehors de tout cadre légitime.
     Enfin, en ce qui concerne les crédits qui m¹ont été confisqués, la
déléguée régionale du CNRS présente à cette réunion a proposé de faire en
sorte que les besoins financiers de mon équipe pour finir l¹actuel contrat
qui me lie encore à l¹Institut de Génétique et Microbiologie (jusqu¹à fin
2009) soient satisfaits.

     Ce sont bien évidemment des engagements et des avancées très importants
qui, s¹ils sont concrétisés, permettront de sortir de ce conflit par le
haut. Un communiqué de presse sera disponible sur le site de FSC
(
http://sciencescitoyennes.org/) dans le courant de la semaine prochaine.

     Je vous dois à tous cette grande victoire d¹étape. La situation
n¹aurait
certainement pas pris une telle tournure sans les 46000 signataires de ma
pétition de soutien et sans la fantastique mobilisation du 25 juin.
A
travers mon cas, c¹est toute la cause des lanceurs d¹alerte qui fait un
nouveau pas en avant après les victoires de Pierre Méneton et de Véronique
Lapidès qui ont tous deux gagné leur procès en diffamation. Du fond du coeur
: MERCI !

     Ave toute mon Amitié,
     Christian Vélot

20/07/2008

Annecy 20-21 septembre 2008

 RASSEMBLEMENT POUR UNE AGRICULTURE DURABLE
 L'avenir de la politique agricole européenne va être au cœur des débats du Conseil informel des Ministres de l'agriculture de l’Union Européenne, qui se
 tiendra à Annecy du 21 au 23 septembre prochain. La politique agricole que nous voulons doit :
 Redonner à l'agriculture sa vocation première d'alimentation
 Promouvoir les agricultures paysannes, familiales et créatrices d'emploi
 Re-localiser les productions et les adapter aux territoires
 Préserver les ressources naturelles et les équilibres écologiques
 Garantir le droit à la souveraineté alimentaire des pays du sud et du nord
                Les 20 et 21 SEPTEMBRE 2008
                                                TOUS A ANNECY !
 Au programme du samedi matin au dimanche soir :
- 3 Conférences :                                            - Animations de rues...                                 - Grande manifestation, festive et colorée, le
« PAC état des lieux et perspectives »,                      - Stands d’associations et librairie, centre de         dimanche
« Quelle agriculture pour nourrir le monde ? »,              presse alternative.                                     - Remise aux ministres des signatures de la
« Souveraineté alimentaire : un droit pour le peuple »       - Diffusion en continu de films documentaires           campagne « L’agriculture est malade, soignons
- Tables rondes, débats et ateliers                          - Restauration conviviale en continu, buvettes et       la PAC »
- Concert le samedi soir                                     marché de producteurs locaux
                                        L'ALIMENTATION EST UN DROIT
                                                                (déclaration universelle des droits de l’homme)
 Pourquoi ce rassemblement ?
 La crise mondiale des prix alimentaires mise brutalement en avant par les émeutes de la faim est le résultat des politiques libérales imposées depuis 20
 ans.
 Réclamons dès maintenant une autre PAC, légitime, solidaire et vraiment durable, qui sera un levier
 considérable pour réguler les marchés et arrêter la précarisation et la disparition des paysans !
 La politique agricole que nous voulons est la seule capable de relever les défis alimentaires, sociaux et environnementaux auxquels l’humanité est confrontée.
 En nous rapprochant des producteurs et par nos choix de consommation, nous pouvons la soutenir.
    EXIGEONS LE DROIT A LA SOUVERAINETE ALIMENTAIRE
                                                                 www.changeonslapac.org

 

15/07/2008

Réunion à Meillonnas en juin 2008

ENVIRONNEMENT - Le collectif OGM non merci ! a organisé une conférence-débat

 

OGM, pollution ou progrès ?

 

Article paru dans Voix de l'ain juin 2008

 

les interventions de Christiane Batailiard et Gérard Boinon ont été très bien suivies par le public.

 

La conférence-débat du collectif OGM, non merci ! qui s'est déroulée la semaine passée salle du château, a été suivie par plus de soixante personnes.

Gérard Boinon, ancien agriculteur, a tout d'abord présenté Rés'OGM info dont il est secrétaire, qui a pour but d'épier les semeurs de cultures d'OGM, afin de préserver la Bresse, l'AOC et, surtout, la santé de tous. Le monde paysan et les citoyens se sentent en effet interpellés par cette information de base : qu'est-ce qu'un OGM ? Ils ont également d'autres interrogations : pourquoi ? est-ce un pesticide ou un médicament ? quelle agriculture demain ? est-ce vraiment une pollution ou un progrès ? Les explications de Gérard Boinon étaient claires et l'assistance a bien compris ce qu'était un organisme génétiquement modifié, pourquoi il pouvait être utilisé et les dangers qui, selon lui, entourent son utilisation. Les plantes OGM commercialisées à ce jour sont le soja, le maïs, le colza et le coton et sont principalement destinées à nourrir le bétail.

Où ? Quand ? Qui?

 

Créé en 2001, le collectif OGM non merci ! recherchait des plantations de maïs OGM en plein cœur de la volaille de Bresse. Au mois de juillet dernier ce sont 135 hectares qu'il a découverts sur quatre cantons (Saint-Trivier, Montrevel, Coligny et Viriat) soit soixante-cinq communes. Et 1' OGM planté en Bresse est le Mon 810 fabriqué par la société américaine Monsanto. Tout cela pour lutter contre la pyrale (petit papillon) alors qu'avec 500 g d'insecticide ou avec le lâcher de trichogrammes (petites guêpes parasitoïdes), on peut traiter un hectare. « L'OGM produit une toxine insecticide dans toutes les celIules de la plante, jusqu'à cinq tonnes à l'hectare. Et pour ramasser le maïs on prend le grain, une partie part en ensilage et le reste dans le sol mettra 21 mois à s'éliminer durant lesquels la toxine va encore vivre et passer dans les eaux des rivières. »

Qu'en pensent les agriculteurs ? Les intérêts économiques des commerces d'OGM sont considérables. Leurs semences empêchent les paysans d'utiliser les graines de leurs récoltes pour ressemer, car ces graines ne pourront plus germer et les agriculteurs devront les racheter chaque année. Les paysans s'endettant plus encore dénoncent cette main mise sur les semences qui en conduit certains à la faillite.

Une loi inadaptée ?

Les intervenants estiment u'aucune étude sérieuse n'a
été faite sur ces OGM. «
Et les romoteurs d'OGM promettent que le pollen de maïs est lourd, qu'il n'y a pas de danger que cela aille sur les autres cultures car il fait 800 g au m2. Et pourtant le sable est bien plus lourd et il arrive du Sahara. Alors qu'en sera-t-il des cultures maraîchères et des élevages et produits AOC ? »

Sénateurs et députés viennent de voter la loi sur les normes qui encadrent cette culture OGM et Gérard Boinon d'expliquer que cette loi se veut précautionneuse mais qu'en réalité elle ne peut pas tout contrôler.

L'intervention de Christiane Batailiard laisse penser qu'un cadre éthique et juridique rigoureux paraît indispensable mais difficile à mettre en œuvre à l'échelle de la planète. Seule la volonté collective et solidaire d'une majorité de citoyens peut l'exiger... Mais pour cela, encore faut-il connaître les faits et les enjeux. L'action du collectif est des
maintenir la pression. La loi
a été votée : « il fallait faucher pour éveiller les esprits, pour être uni essort d'alerte », commentait Gérard Boinon. Cette année en France il n'y aura pas d'OGM, sauf ceux d'essais. Il n'y a que l'analyse qui permet de différencier les deux maïs, OGM ou pas . c'est a partir d'un jus de tige à l'aide d'un révélateur que l'on peut trouver les toxines,     

De plus, un travail va se faire ; uprès des maires pour qu'ils uissent prendre un arrêté interdisant ces cultures.

D'autres points ont interpellé le public présent : la préservation es AOC. les grandes firmes commercialisant les OGM et leur pouvoir, l'insuffisance des recherches, etc.

 

La santé sera restée le point phare de la soirée : si l'agriculteur et la population sont en bonne santé, cela coûtera moins cher à la collectivité.   

 

 

 

 

 

 

14/07/2008

Question à Gérard Boinon

Article paru dans Voix de l'Ain - juin 2008

« Pour une agriculture durable, innovante sans OGM »

 

Secrétaire général de l'association Res'OGM Info,

née en 2005 avec le soutien de la Région,

membre du collectif « OGM Non merci » créé

dans l'Ain en 2001, Gérard Boinon sera l'un des

intervenants du débat* organisé ce vendredi, à

Bourg, à l'initiative d'Artisans du monde et du

Comité Catholique contre la Faim et pour le

Développement.

 

Pourquoi vous êtes-vous intéressé à la question

des OGM (organismes génétiquement modifiés) ?

En 1997, j'étais secrétaire général de la confédération paysanne Rhône Alpes. Les OGM venaient d'apparaître en Isère. On n'en savait pas grand-chose, sauf qu'il fallait racheter des semences chaque année : 1 million de paysans n'a pas les moyens d'acheter ces semences. Avant même la possible incidence sur la santé, la question qui s'est posée, c'est celle de la survie des paysans face aux multinationales.

Les OGM : chance ou danger pour les paysans, le consommateur, l'industrie ?

Avant on faisait de la sélection, des greffes d'un arbre sur un autre arbre. Là c'est tout autre chose, on transgresse les espèces. L'échec le plus flagrant c'est la tentative d'introduire un gène de poisson dans la fraise pour en assurer le transport : ça n'a pas marché ! Aujourd'hui 98 % des OGM concernent 4 plantes (le soja, le maïs, le colza et le coton), 2 % des essais le riz, la vigne et le bois.

Le danger pour le paysan est lié à cette obligation d'acheter chaque année des semences. Lié aussi aux risques de pollinisation des parcelles plus ou moins lointaines. Ajouter à cela qu'on a introduit dans le maïs un gène qui lui permet de résister à la pyrale et qui produit une toxine... 500 tonnes à l'hectare : je n'ai pas envie de donner ça à mes bêtes ! Des tests ont été faits sur des rats en Angleterre et Australie qui ont montré une modification du système sanguin et digestif. En Iowa, on a montré qu'il fallait 30 mois pour éliminer cette toxine du sol et qu'on la retrouvait dans les rivières avec incidences sur la fécondation des crusta-cées. Bon ou mauvais pour le consommateur : je ne sais pas, mais cela mérite de se poser la question. Pour l'amiante, on savait en 1904 : il a fallu attendre 2002 pour l'interdiction. Peut-être vaut-il mieux ne pas attendre que ce soit irréversible pour faire quelque chose ! Les OGM c'est une chance pour les 5 transnationales qui se partagent le marché des semences !

 

Les OGM solution à la faim dans le monde, vous y croyez ?

Je prouve le contraire ! La faim dans le monde ne se réglera pas par une agriculture industrielle, mais par une agriculture familiale et paysanne. La vocation du paysan français n'est pas de nourrir le paysan sénégalais. Les produits basiques (blé, riz, poulet, etc.) doivent être produits dans chaque pays. Les surfaces agricoles diminuent à cause de l'industrialisation (dans l'Ain, 3 000 paysans ont disparu en 12 ans) et on tente de nous faire avaler les OGM via les agro carburants. Si on introduit comme prévu 10 % de diester dans le gasoil et 10 % d'éthanol dans l'essence, il faut y consacrer 72 % de la surface agricole utile française. Cela se fera donc dans des pays où les paysans n'ont pas de titre de propriété. Au Cameroun, au Brésil, en Papouasie : on brûle la forêt pour mettre des palmiers à huile, ou de la canne à sucre ! On passe d'une culture vivrière à une culture intensive ! Les usines sont construites : il faut les faire tourner ! Se pose outre la question écologique, celle de la souveraineté alimentaire et des prix. Chaque fois que les prix mondiaux augmentent de 1 %, 16 millions de personnes tombent dans une pauvreté extrême!

 

Quelles alternatives?

 

 

 

Il faut revoir le système des aides, notamment de la PAC. Passer d'une aide à l'hectare à une aide à la qualité, à l'entretien des espaces, à la reconversion biologique. Avec le film « Cultivons la terre » qui sera projeté vendredi à Bourg dans le cadre de la campagne « L'agriculture est malade, soignons la PAC » nous montrons qu'il y a d'autres solutions : j'utilise depuis 20 ans le tri-chogramme pour lutter contre la pyrale, une sélection participative sur l'orge est conduite avec des paysans et chercheurs en Jordanie, Dominique Vianney utilise des insectes auxiliaires (coccinelles, etc.) à la place des insecticides, Yves François, en Isère, pratique le désher-bage mécanique du maïs, Claude Bourguignon pratique la technique sans labour (on gagne 5 tonnes de carbone à l'hectare), etc. Lutte biologique, respect des sols, circuits courts de commercialisation, sont quelques-unes des alternatives. Il s'agit souvent de pratiques agricoles oubliées améliorées par la recherche scientifique !

RECUEILLIS PAR CHANTAL LAJUS Au cinémateur à Bourg, le 13 juin à 20 h : projection du film Cultivons la terre et débat « L'agriculture est malade, soi-gnonsla PAC». Avec Alain Millet, « La hausse des prix », avec Emmanuel Hyvemat, « Changer nos modes de consommation », avec Jean Luc Roux « Le commerce équi-table comme levier d'une plus grande autonomie des pays du sud».

 

 

 

12/07/2008

Au programme dans le mâconnais

AIAPEC
 
ASSOCIATION pour une
 
INFORMATION
 
ALTERNATIVE
 
POPULAIRE
 
ÉDUCATIVE et CITOYENNE

 

44 rue Dufour

71000 Mâcon

 

Ouverture mercredi et

samedi 10h à 19h

 

PROGRAMME demande

au 03 85 32 43 51 & 06 11 03 07 56

 

aiapec@club-internet.fr

http://iprd.typepad.fr/aiapec/

 

Ne restons pas passifs !

 

Réfléchissons, discutons,

formons

et aiguisons

notre esprit critique.

 

Notre avenir dépend

de notre lucidité !

 

« Créer, c’est résister.

 

Résister c’est créer. »

 

 

  • Mercredi 16 juillet, 20h30 :
Rétention de sûreté, une peine infinie, film de Thomas Lacoste.

La peine de rétention de sûreté qui permet de laisser en prison des personnes ayant fini de purger leur peine, expliquée par huit intervenants, juristes, psychiatres, militants. Déconstruction du populisme pénal.



  • Samedi 19 juillet, 20h30 :

Le bien commun, film de Carole Poliquin.

Les dangers de l’appropriation privée des biens communs de l’humanité. Le monde et les hommes deviennent des marchandises.

  • Mercredi 23 juillet, 20h30 :

LBO, les insoumis, film d’Olivier Minh.

Le rachat-vente des sociétés (LBO) est une technique très prisée par les fonds d’investissements. L’obligation de rentabilité extrême qui est imposée à ces sociétés rachetées rend les conditions de travail insoutenables pour leurs salariés.



  • Mercredi 30 juillet, 20h30 :

José Bové, le cirque médiatique. Film de Damien Doignot.

L’ascension médiatique de l’ex porte-parole de la Confédération paysanne. Peut-on être complaisant vis-à-vis du cirque médiatique ? Jusqu’à quel point peut-on l’utiliser ? Le critiquer ?



  • Samedi 2 août, 20h30 :

Femmes précaires, film de Marcel Trillat.

Plus de trois millions 400 salariés travaillent à temps partiel et gagnent moins que le SMIC. Huit sur dix sont des femmes




  • Mercredi 6 août, 20h30 :

Les damnés du Kosovo, film de Michel Collon et Vanessa Stojilkovic.

L’occupation par l’OTAN a-t-elle amené la paix et la protection de toutes les nationalités au Kosovo ? La mondialisation mène-t-elle vers des guerres de plus en plus nombreuses ?


  • Samedi 9 août, 20h30 :

Bruxelles Caracas. Film de Vanessa Stojilkovic. Que vaut notre information sur le Venezuela ? Pourquoi Bush veut il renverser Chavez ? Où va l’Amérique Latine ?



  • Mercredi 13 août, 20h30 :

Pas assez de volume, notes sur l’OMC. Film de Vincent Glenn.

Le portrait polémique de l’Organisation Mondiale du Commerce, instance dont le pouvoir n’a cessé de s’étendre depuis sa création en 1995. Pour quels intérêts cette institution internationale a-t-elle été mise en place ?



  • Mercredi 20 août, 20h30 :

Un racisme à peine voilé, film de Jérôme Host.

De la polémique autour du port du foulard à la loi de 2004 interdisant le port de signes religieux ostentatoires. Quels rapports avec l’histoire coloniale ? La parole est donnée aux opposants à cette loi.



  • Mercredi 3 septembre, 20h30 :

La séparation, film de François Hanss.

Pourquoi et comment la loi de séparation des églises et de l’Etat a-t-elle été mise en place en 1905.Quelle est la place de la religion dans la société ?